La dépendance à l’alcool est un trouble complexe qui affecte des millions de personnes dans le monde.
Les personnes souffrant de dépendance à l’alcool ont souvent du mal à arrêter de boire ou à contrôler leur consommation d’alcool, même si cela a des conséquences négatives sur leur vie.
Pendant les quatre dernières années, j’ai essayé de contrôler ma consommation d’alcool, même si je n’ai pas encore atteint mon objectif. Environ 90 à 95 % du temps, j’arrive à contrôler mais il y a toujours un moment où cela dérape.
Et je peux dire aujourd’hui j’ai tout essayé…boire que du vin, que de la bière, pas avant 18 h , tous les médicaments que je cite plus bas et impossible de contrôler , je n’ai jamais fini en prison ou tuer quelques-uns mais j’ai été loin trop loin pour continuer a vivre de cette façon
j’ai absolument tout essayé dans cet article et je me rends compte et mon but désormais est la totale abstinence, car dérailler et perdre le contrôle de sa vie cela fait peur. Comme par des black-out, ne pas se rappeler se réveiller dans des endroits inconnus,Mal parler à des personnes qu’on aime et mal se comporter entre autres.
je vous donne un exemple d’un mec bien, bourre il sort d’un bar et rentre chez lui en voiture , aucun souvenir , le matin la police le réveil, il voit du sang sur sa vitre , il a écrasé un inconnu en black out….et j’ai tout sauf envie que c m’arrive et tuer un autre être humais et pour être entièrement honnête passer 20 ans en taule!
Malgré mes efforts, je dois admettre que j’ai encore des difficultés à maintenir une abstinence complète de l’alcool.
Cependant, je suis fier du progrès que j’ai accompli jusqu’à présent, car il y a eu des moments où je n’étais pas capable de contrôler ma consommation du tout. j’ai été 11 mois sobre l’an dernier
Je suis conscient qu’il est important de continuer à travailler sur moi-même et de trouver des moyens d’améliorer ma santé mentale et physique pour éviter de sombrer dans une rechute.
Je suis également conscient que la lutte contre la dépendance à l’alcool peut être difficile, mais je suis déterminé à continuer à lutter pour mon bien-être et ma santé. Avec le temps, j’espère être capable de maintenir une abstinence complète et de vivre une vie saine et équilibrée sans alcool.
J’ai l’intention de continuer à suivre les conseils de mon parrain AA et de continuer le magnifique programme des 12 étapes d’alcoolique anonymes et leurs groupes de soutien.Je vais revenir sur les 12 étapes d’alcooliques anonymes, car je pense qu’après avoir tout essayé c’est la seule chose qui marche vraiment
l existe de nombreuses façons et techniques pour arrêter l’alcool, mais il est important de noter que le traitement de la dépendance à l’alcool est un processus individuel et peut nécessiter une combinaison de plusieurs approches pour réussir.
Voici quelques-unes des techniques courantes pour arrêter l’alcool:
- La désintoxication médicale: C’est une étape importante pour arrêter de boire de l’alcool en toute sécurité, surtout si vous avez une dépendance forte. La désintoxication peut être effectuée dans un centre de traitement, sous la supervision d’un médecin ou d’un professionnel de la santé.ou j ai ma technique personnelle , 3 jours ont la maison sous xanax et le 4e jour ça va mieux
- Les groupes de soutien: Les groupes de soutien, comme les Alcooliques Anonymes (AA), peuvent être un moyen utile pour obtenir un soutien émotionnel, partager des expériences et apprendre des stratégies pour rester sobre. À mes yeux je le répète, n’y a pas mieux et le travail des 12 étapes cela devrai être fait par tous, il y a d’ailleurs plus de 300 groupes qui travaillent ses étapes comme narcotique anonymes, cocaïne anonyme, les outre mangeurs anonymes, les sex and love addict etc…
- Les médicaments: Il existe plusieurs médicaments qui peuvent être prescrits pour aider à réduire les envies d’alcool et les symptômes de sevrage, tels que le disulfirame, la naltrexone et l’acamprosate.
- Les changements de mode de vie: Il peut être nécessaire de faire des changements de mode de vie pour arrêter de boire de l’alcool, comme éviter les situations sociales où l’alcool est présent, éviter les amis qui boivent, trouver de nouveaux passe-temps, et adopter une alimentation saine et faire de l’exercice régulièrement.mais ce n’est pas la solution durable.Il est primordial de poser des actions de ce genre lors des envies des boires, mais sans un travail sur soi, la rechute sera inévitable
Au fil des ans, de nombreux médicaments ont été développés pour aider à traiter la dépendance à l’alcool.
Certains de ces médicaments ont été utilisés pendant des décennies, tandis que d’autres sont relativement nouveaux. Dans cet article, nous allons examiner certains des médicaments utilisés pour traiter la dépendance à l’alcool, y compris ceux qui ont été utilisés dans le passé.
Personnellement j’ai essayé le baclofène et le naltrexone, aucun ne m’a apporté les effets escompte ou cela a modifié mon comportement comme le naltrexone qui me rendait agressif ou le baclofene qui me faisait tout simplement rien, mais je vais en parler, car cela aide des gens et pourquoi pas vous
L’un de ces médicaments est l’amytal sodique, un barbiturique qui a été utilisé dans les années 1940 et 1950 pour traiter la dépendance à l’alcool. Bien qu’il ait été considéré comme efficace pour aider les patients à rester sobres, l’amytal sodique a été abandonné en raison de ses effets secondaires potentiellement graves, notamment la dépression respiratoire et la dépendance au médicament lui-même.
Un autre médicament qui a été utilisé pour traiter la dépendance à l’alcool dans le passé est le chlorure de calcium. Ce médicament était administré par injection et provoquait des nausées, des vomissements et des douleurs abdominales lorsque les patients consommaient de l’alcool. Bien que cela puisse sembler une méthode efficace pour dissuader les patients de boire, le chlorure de calcium a également été abandonné en raison de ses effets secondaires graves et potentiellement mortels.
Au fil du temps, d’autres médicaments ont été développés pour aider à traiter la dépendance à l’alcool, tels que le disulfirame, la naltrexone, l’acamprosate et le baclofène. Ces médicaments agissent de différentes manières pour aider à réduire les envies d’alcool, prévenir les rechutes et faciliter la transition vers la sobriété.
Le disulfirame, qui a été approuvé par la FDA en 1951, est un médicament qui crée une réaction désagréable lorsque les patients consomment de l’alcool. Le disulfirame agit en inhibant une enzyme hépatique qui aide à métaboliser l’alcool dans le corps, ce qui provoque une accumulation de produits métaboliques toxiques. Cette accumulation peut entraîner des effets secondaires désagréables tels que des nausées, des vomissements, des bouffées de chaleur et des maux de tête. Le disulfirame est souvent utilisé en combinaison avec d’autres traitements pour la dépendance à l’alcool, tels que la thérapie comportementale, les groupes de soutien et les changements de mode de vie.
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Acamprosate
L’acamprosate (Campral) est un médicament qui est utilisé pour réduire les envies d’alcool et aider les patients à maintenir l’abstinence. L’acamprosate agit en réduisant l’activité du système glutamatergique dans le cerveau, qui est impliqué dans la régulation des récompenses et des plaisirs associés à la consommation d’alcool.
Il existe de nombreuses façons et techniques pour arrêter l’alcool, mais il est important de noter que le traitement de la dépendance à l’alcool est un processus individuel et peut nécessiter une combinaison de plusieurs approches pour réussir.
En ce qui concerne les effets secondaires de l’acamprosate, certains patients peuvent éprouver des maux de tête, des nausées, des diarrhées, des douleurs abdominales ou des douleurs musculaires. Ces effets secondaires sont généralement légers et disparaissent souvent d’eux-mêmes après un certain temps. Des effets secondaires plus rares, tels que des réactions allergiques, peuvent également survenir et nécessitent une attention médicale immédiate.
Il est important de noter que l’acamprosate ne convient pas à tout le monde et qu’il est important de discuter avec un professionnel de la santé de l’utilisation de ce médicament en fonction de votre situation individuelle.
Le baclofène est un médicament qui est souvent utilisé pour traiter la dépendance à l’alcool.
Il agit en réduisant les envies d’alcool et en aidant à prévenir les rechutes, mais il est important de noter que l’utilisation du baclofène pour le traitement de l’alcoolisme est controversée et que son efficacité n’est pas clairement établie.
Il y a eu des études qui suggèrent que le baclofène peut être efficace pour réduire la consommation d’alcool et aider les patients à maintenir l’abstinence, mais il y a également eu des études qui n’ont pas montré d’avantages significatifs par rapport au placebo.
En général, il est important de discuter avec un professionnel de la santé de l’utilisation du baclofène pour le traitement de la dépendance à l’alcool et d’examiner les avantages potentiels par rapport aux risques et aux effets secondaires possibles.
Et il peut causer des effets secondaires, voici une liste des effets secondaires les plus courants :
- Somnolence, fatigue ou faiblesse
- Étourdissements ou vertiges
- Nausées, vomissements ou diarrhée
- Douleurs abdominales
- Maux de tête
- Sécheresse buccale
- Constipation
- Insomnie ou somnolence excessive
- Confusion ou désorientation
- Irritabilité ou anxiété
- Problèmes de vision ou de vision floue
- Augmentation de la fréquence cardiaque ou de la tension artérielle
- Éruptions cutanées ou démangeaisons
Des effets secondaires plus graves peuvent également se produire, bien que cela soit rare, et peuvent inclure des problèmes hépatiques, des convulsions, des hallucinations, des comportements suicidaires, des problèmes respiratoires et des réactions allergiques. Il est important de discuter avec un professionnel de la santé de tout effet secondaire potentiel avant de prendre du baclofène et de signaler tout effet secondaire qui se produit pendant le traitement.
Naltrexone
La naltrexone (ReVia) est un médicament qui est utilisé pour réduire les envies d’alcool et prévenir les rechutes chez les personnes dépendantes à l’alcool. La naltrexone agit en bloquant les récepteurs opioïdes dans le cerveau qui sont impliqués dans les récompenses et les plaisirs associés à la consommation d’alcool. En bloquant ces récepteurs, la naltrexone peut aider les patients à réduire leur consommation d’alcool et à éviter les rechutes.
Voici une liste des effets secondaires les plus courants de la naltrexone:
- Nausées
- Vomissements
- Douleurs abdominales
- Diarrhée
- Maux de tête
- Étourdissements ou vertiges
- Somnolence ou fatigue
- Insomnie
- Anxiété ou nervosité
- Irritabilité
- Douleurs articulaires ou musculaires
- Éruptions cutanées ou démangeaisons
La naltrexone peut également être utilisée pour traiter la dépendance aux opioïdes, tels que l’héroïne et les analgésiques opioïdes.
Des effets secondaires plus graves peuvent également se produire, bien que cela soit rare, et peuvent inclure des réactions allergiques, des problèmes hépatiques, des saignements gastro-intestinaux, des troubles respiratoires et des comportements suicidaires.
Alcoolisme à rester sobres et à progresser spirituellement. Le programme des 12 étapes des AA est un guide pour le rétablissement qui met l’accent sur la spiritualité et l’acceptation de l’aide des autres.
Des millions de personnes ont trouvé une véritable guérison grâce aux AA et aux 12 étapes, trouvant un soutien communautaire, un réseau de soutien émotionnel et une structure pour leur rétablissement. Cela leur permet de vivre une vie pleine et satisfaisante sans alcool.
En fin de compte, il n’existe pas de solution unique pour traiter l’alcoolisme, les Alcooliques Anonymes et les 12 étapes sont un choix judicieux et efficace pour ceux qui cherchent à rester sobres et à améliorer leur vie spirituelle et devenir de meilleurs personnes,